Devoir D’Épouse

Je rentre un peu tard ce soir chez moi. Tout le monde a mangé. Je me débarrasse de mes affaires, me dirige vers la table. Mon couvert est mis, je m’assois et regarde ce qui est disposé devant moi.
Monsieur arrive et place dans mon assiette un flacon qui ressemble à ceux pour prélever les urines, en plus gros. Je regarde le flacon, n’identifie pas ce qu’il y a dedans, je regarde Monsieur. Il m’observe et dit :

- « Je ne baise pas assez … (le ton frôle le reproche) … Et puisque je ne baise pas assez, j’ai besoin de vider mes couilles ; alors je me suis branlé toute la journée et j’ai éjaculé à chaque fois dans ce pot, que tu as devant toi. »

Je regarde à nouveau le flacon, il est bien rempli, maintenant je reconnais le liquide blanchâtre qui s’y trouve. Monsieur :

- « Ouvre, et bois ! C’est ton repas ! » Le ton n’admet aucune discussion.
Je dévisse lentement le couvercle. Je suis partagée entre dégoût et envie devant le liquide visqueux. Je sens comme une pointe de désir monter et s’emparer de moi. Je porte le récipient à mes lèvres, une odeur âcre s’en dégage.

- « Bois ! Avale ! Tout ! N’en perds pas une goutte !»
Je le regarde furtivement, son ton est implacable.

- « Il n’y a aucune raison qui explique que ma semence ne soit pas en toi, alors tu vas boire jusqu’à la dernière goutte. »

J’obéis, déglutition après déglutition j’avale le liquide visqueux, âcre et froid. Je me sais observée. Je me sens écœurée, le cœur au bord des lèvres, et pourtant une pointe d’excitation se fait ressentir au creux de mes reins, tout au fond de mon bas ventre. Aucune envie de ne pas faire plaisir à Monsieur. J’avale, … j’avale jusqu’à la dernière lichée.
Ses deux mains m’attnt brusquement par les cheveux, tirent violemment vers le bas : je me retrouve à terre, sur les genoux, ma bouche face à son sexe que je devine tendu, dur et gonflé au travers de son jean.



- « Et maintenant tu vas prendre ton dessert, tout chaud, directement à la source ! »

Mes mains ouvrent rapidement la fermeture éclair de son pantalon, son sexe turgescent surgit au travers de l’ouverture et j’ai à peine le temps d’ouvrir la bouche que ses mains, toujours agrippées à mes cheveux, font faire des va-et-vient rapides et brusques à ma tête.
Ma bouche glisse profondément sur sa queue humidifiée par ma salive : les chocs se répètent et se succèdent rapidement au fond de ma gorge, mes cheveux tirent, je m’étouffe, je pleure, je bave abondement.
La fellation puissante que m’impose Monsieur me rappelle à quel point je suis son jouet et je lui appartiens… ma chatte se gonfle et s’humidifie un peu plus à chaque coup de buttoir qui baise ma bouche. Mes lèvres brûlent, je reçois enfin mon dessert : liquide chaud au fond de ma gorge, le jet est puissant et abondant.

Un sourire de satisfaction apparaît sur les lèvres de Monsieur, et me rappelle que je suis là pour son plaisir et que je dois m’y appliquer.

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